« L’expérience de l’Absolu dont témoigne si puissamment la tradition mystique de l’Inde est comprise en sa plénitude dans le « Moi et le Père nous sommes Un » – de Jésus. »
Le Yoga m'accompagne au quotidien depuis longtemps et je le transmets depuis 1991. La méditation et la pratique des différents aspects du Yoga Intégral, les rencontres sur le chemin, et l'étude des textes sacrés / philosophiques, sont mes sources d’inspiration. L'amour de la Nature et l'approche holistique de la santé, depuis l'enfance, m'ont conduite à mettre en pratique conjointement les sagesses de l'Ayurveda et du Yoga, puis à étudier leurs synergies. La Joie et l'évidence de la transmission de ces voies sœurs découlent de cette expérience de Vie.
YOGAMRITA
Yogamrita est une école de Yoga et d’Ayurveda, fruit d’une longue expérience conjointe de ces deux approches.
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Ce rapprochement de l’absolu indien avec la bible se retrouve avec un autre langage approprié dans le coran, sûrement aussi dans les textes juifs, mais je ne les connais pas.
C’est bien d’oser parler de la religion de cette manière, c’était son but originel. Je suis un chrétien orthodoxe d’Orient. Je n’envisage pas mon rapport à la religion chrétienne autrement que dans mon chemin vers l’absolu.
Les standards ont baissé au fil des siècles, ceux du hathayoga et de la méditation aussi.
Je ne dirais pas que c’est un bien ou un mal, c’est une constatation uniquement.
Je ne dirais pas non plus que nous devons redonner à la religion sa dimension métaphysique. Nous n’avons rien à donner ni à prendre. C’est un chemin personnel, solitaire, où on se retire du monde pour y revenir autrement.
On ne se libère pas du monde, mais dans le monde, dans la dualité de son propre monde intérieur qu’on apprend à regarder avec le plus de neutralité possible.
Avec cette phrase de Le Sault, c’est ce que vous venez de faire.
Ce rapprochement de l’absolu indien avec la bible se retrouve avec un autre langage approprié dans le coran, sûrement aussi dans les textes juifs, mais je ne les connais pas.
C’est bien d’oser parler de la religion de cette manière, c’était son but originel. Je suis un chrétien orthodoxe d’Orient. Je n’envisage pas mon rapport à la religion chrétienne autrement que dans mon chemin vers l’absolu.
Les standards ont baissé au fil des siècles, ceux du hathayoga et de la méditation aussi.
Je ne dirais pas que c’est un bien ou un mal, c’est une constatation uniquement.
Je ne dirais pas non plus que nous devons redonner à la religion sa dimension métaphysique. Nous n’avons rien à donner ni à prendre. C’est un chemin personnel, solitaire, où on se retire du monde pour y revenir autrement.
On ne se libère pas du monde, mais dans le monde, dans la dualité de son propre monde intérieur qu’on apprend à regarder avec le plus de neutralité possible.
Avec cette phrase de Le Sault, c’est ce que vous venez de faire.